Divers et pourquoi pas d’été ?

Les SABLAYROLLES, naissances en France
  • Total des naissances pour le patronyme SABLAYROLLES :
    1891 – 1915 : 249 –
  • 1916 – 1940 : 233 –
  • 1941 – 1965 : 308 –
  • 1966 – 1990 : 249
  • 1 039 personnes nées en France depuis 1890, dans 51 départements
  • 8 609 rang des noms les plus portés en France

Origine : Sablayrolles est un nom de localité d’origine du Tarn , commune de Castelnau- de-Brassac. Il peut également avoir été le nom d’un domaine se trouvant sur un terrain sablonneux ou marécageux comme bien souvent, les noms de lieux ont engendré des patronymes .

La généalogie des SABLAYROLLES

Nom de famille : SABLAYROLLES Entre 1891 et 2000, il y a eu 1 122 naissances de personnes portant le nom de famille SABLAYROLLES en France Ces naissances sont réparties à travers 6 départements (voir le détail plus bas) Tendance de ce nom de famille : à la baisse (Tendance MOYENNE). Avec une espérance de vie moyenne de 80 ans, nous estimons qu’il y a environ 639 personnes nées en France avec le nom de famille Sablayrolles.

Collections généalogiques
Dans les départements
Dans les communes
  • Etat-Civil (4 399)
  • Recensements, Electeurs (2 270)
  • Arbres Généalogiques (2 226)
  • Archives Militaires (42)
  • Décorations, Titres, Pensions (27)
  • Tarn (81) (6 566)
  • Hérault (34) (1 526)
  • Haute-Garonne (31) (915)
  • Aude (11) (492)
  • Aveyron (12) (263)
  • Castelnau-de-Brassac (1 193)
  • Verdalle (326)
  • Soual (313)
  • Brassac (292)
  • Mazamet (285)
Statistiques du nom de famille : SABLAYROLLES Période Naissances
  • 1891 – 1900 : 94
  • 1901 – 1910 : 105
  • 1911 – 1920 : 71
  • 1921 – 1930 : 121
  • 1931 – 1940 : 92
  • 1941-1950 : 107
  • 1951-1960 : 139
  • 1961-1970 : 109
  • 1971-1980 : 101
  • 1981-1990 : 103
  • 1991-200 : 80

https://www.politologue.com/nom-de-famille/detail/SABLAYROLLES.qCEww

Un marché qui résiste tant bien que mal à la crise

Il y a les optimistes. Et il y a les autres. Claudine Cuq, qui fait partie de l’organisation de la foire agricole, fait évidemment partie des optimistes. « On a autant de monde que les années précédentes. En braderie on a environ 150 exposants, et le manque de place fait que de toutes façons on ne peut pas en accueillir plus. En matériel agricole on a en plus 420 exposants. Même s’il n’y a ni la fête du chien, ni l’exposition bovine on peut dire que c’est une bonne année ! »

La difficulté pour se garer aux abords du village, ce week-end, semble lui donner raison.

Roger Martinez pense qu’il aurait quand même vendu plus de churros avec l’exposition de vaches « qui attire plus de familles avec enfants ». Mais il ne se plaint pas trop.

Le problème en réalité est surtout pour les agriculteurs eux-mêmes, dont le pouvoir d’achat a été amputé par la crise de la vache folle et par la fièvre aphteuse qui a suivi.

DES CLIENTS VENUS D’ESPAGNE

« Il y a tellement de crises que les gens n’ont plus un rond. Ils vous le diront pas parce qu’ils ont leur honneur, mais il y en a de plus en plus au RMI », explique Olivier Alvernhe, qui est venu de Broquiès, dans l’Aveyron.

Une situation qui fait craindre le pire à Camille Villeneuve, de Lautrec. « Dans cinq ans d’ici, il n’y aura plus que la brocante dans cette foire. Il y a quelques années, il y avait beaucoup plus de matériel agricole que ça. Là il y en a moins, et encore je n’en ai vu aucun de vendu. Avec toutes ces crises, les gens ont de moins en moins d’argent. C’est normal. »

Alors Bernard Sablayrolles se demande s’il n’est pas venu de Trébas pour rien avec ses tracteurs. « Les gens font le tour, mais ils ne s’attardent pas note-t-il. Il n’y a que le petit matériel qui se vend, ou le matériel d’occasion. » Une chance d’ailleurs pour lui car ce marché de l’occasion en pleine expansion attire de plus en plus de clients espagnols qui connaissent tous la notoriété de la foire agricole de Réalmont.

UNE FORTE IMPLANTATION REGIONALE

« Ah, c’est vrai que j’ai vendu un râteau faneur à un gars venu exprès d’Alicante. Là bas, ils sont encore en pleine évolution. Le matériel qui ne correspond plus à des besoins ici, il part souvent en Espagne ou vers les pays de l’Est. »

Et le marché local alors? Il est toujours là, répond le maire Jean Roger. « La foire agricole existe depuis quarante-deux ans. Elle a une forte implantation régionale. Les gens savent qu’en venant ici ils auront du choix. Et puis il faut savoir que souvent ils viennent chercher des informations, mais que les achats se concrétisent dans les semaines qui suivent. »

Preuve que Réalmont reste un carrefour important du monde agricole, avec un marché hebdomadaire qui lui aussi a bien tiré son épingle du jeu malgré les différentes crises bovines. Et pour cause, il est spécialisé dans la volaille. Or la demande a bien augmenté dans ce secteur là au cours des dernières semaines. Une bonne occasion… pour clouer le bec aux mauvaises langues qui, en pleine fièvre aphteuse, prédisaient le pire pour le marché de Réalmont.

Béatrice DILLIES.

https://www.geneanet.org/fonds/individus/?go=1&nom=SABLAYROLLES&place__0__=Cadix,+81340&size=50

https://gw.geneanet.org/phegret?n=sablayrolles&oc=3&p=josephhttps://gw.geneanet.org/phegret?n=sablayrolles&oc=3&p=joseph

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